1 Faites trois seances de sport par semaine.
Pour obtenir un résultat rapide, en 4 semaines environ, c’est le rythme qu’il faut tenir. Si l’on s’arrête à une séance par semaine, il s’agit d’un simple entretien et le résultat sera plus long à obtenir.
2) Misez sur le cardio.
En sport cardio en salle, on peut faire par exemple du body attack, du step ou du RPM (cyclisme en salle). Enchaînez sur un peu de renforcement musculaire et terminez vos séances par du stretching.
3) Faites des séances de 45 minutes minimum.
Quand on en fait moins, on brûle seulement les sucres. Au delà seulement, on commence à brûler les graisses.
4) Hydratez-vous bien.
Beaucoup de gens se plaignent de rétention d’eau. Elle est due à un déséquilibre qui peut être provoqué par le stress, les hormones, la malnutrition… Il faut consommer des minéraux et donc boire beaucoup d’eau pour rétablir l’équilibre.
5) Faites une cure d’hydroxydase.
Il s’agit d’une eau très minéralisée. Demandez-en chez votre pharmacien. Cela se consomme par petites bouteilles de 20 ml pendant une vingtaine de jours.
Faites cette cure avec une eau faiblement minéralisée (de type Evian ou Volvic) ou faites une cure d’Hépar ou de Contrex seule, ces eaux sont déjà suffisamment riches en minéraux.
6) Optimisez la détente.
Si vous en avez la possibilité, allez au hammam ou au sauna directement en sortant de votre séance de sport. Cela permettra de détendre vos muscles mais également de purifier votre peau.
7) Ne jeûnez surtout pas.
Si on n’apporte aucun aliment à l’organisme, on ne le maintient pas en forme. Il faut corriger son alimentation et non pas tout supprimer.
8) Augmentez la quantite de fibres consommee.
Mangez plutôt des fibres insolubles : du son et des céréales complètes… N’hésitez pas à les mixer si votre intestin est sensible, elles peuvent être difficiles à digérer.
9) Faites une cure de fruits et légumes.
Pendant deux jours, ne consommez rien d’autre que cela. Vous pouvez les consommer de manière assez abondante, pour permettre d’éliminer ce qui traîne dans votre intestin. Mais pendant ce temps, vous devez éviter absolument les sucres, graisses et sel.
10) N’excédez pas trois jours de détox pure.
Au-delà, le corps est purifié et il faut reprendre une alimentation équilibrée.
Les accros au chocolat pourront remplacer leur pêché mignon par du vrai cacao. Aussi riche en magnésium et en fer, mais sans graisses, ni sucres.
Source ELLE
Les Oméga-3 : qu'est-ce que c'est ?
Ne nous y trompons pas, les Oméga-3 sont des matières grasses. Mais pas n'importe lesquelles…
Il existe en effet différents types de gras ayant des effets opposés sur la santé : les acides gras saturés, présents dans le beurre, les fromages ou encore la charcuterie ; les acides gras trans, d'origine industrielle ; et les acides gras poly et mono-insaturés, nommés ainsi en raison de leur structure chimique. Inutile de rappeler que les deux premières sources de gras peuvent avoir des conséquences fâcheuses sur la santé (cholestérol, risques de maladies cardiovasculaires, etc.).
Les Oméga- 3, eux, appartiennent aux acides gras poly-insaturés, également appelés acides gras "essentiels" car notre organisme est incapable d'en fabriquer. Nous devons donc obligatoirement en manger pour satisfaire nos besoins. En tant que matières grasses, ils apportent autant de calories que les acides gras saturés mais, contrairement à ces derniers, leur consommation a des effets protecteurs.
Des effets protecteurs
Les Oméga-3 se distinguent très nettement des acides gras saturés qui ont tendance à favoriser les dépôts de cholestérol et à augmenter les risques de maladies cardiovasculaires.
Ils préviennent certaines maladies
La liste de leurs bienfaits est longue et s'étoffe de jour en jour... Ils participent à la constitution de nos cellules et à la fabrication de certaines hormones, empêchent la formation de caillots et combattent les troubles du rythme cardiaque. On a même découvert que ces acides gras poly-insaturés pouvaient diminuer le risque de troubles cardiovasculaires après un infarctus du myocarde. Mais l'inventaire ne s'arrête pas là. En plus d'être des alliés santé pour le cœur, les Oméga-3 jouent également un rôle important dans la formation et le fonctionnement du cerveau. N'en jetez plus ! Eh bien si… Ils permettraient aussi de lutter contre certains cancers et contre l'apparition de la maladie d'Alzheimer.
De vrais "brûle-graisses"
Les Oméga-3 sont de vrais "brûle-graisses". La preuve par quatre dans le livre d'Anne Dufour et Carole Garnier, "Programme brûle-graisses en 30 jours", aux éditions Leduc.S.
» Les Oméga-3 prennent la place des graisses qui font grossir, comme les acides gras trans et saturés, et passent facilement dans le sang pour être brûlés, et non stockés.
» Grâce à leurs effets antidépresseurs, ils permettent d'optimiser l'activité sportive et d'augmenter le métabolisme de base, c'est-à-dire la consommation de calories par votre corps.
» Les Oméga-3 sont les graisses les plus facilement brûlées par les mitochondries qui transforment les calories en énergie.
» Les Oméga-3 assouplissent les cellules sanguines, facilitant ainsi leur voyage vers le bout des doigts et des orteils pour les réchauffer. Ce processus oblige le corps à brûler en permanence des calories afin de fournir cette chaleur. De la chaleur qui, grâce aux fameux acides gras poly-insaturés, s'évapore sans cesse et doit donc être fabriquée de nouveau…
Où les trouver ?
Dans les aliments. Rien de tel que les poissons gras. Voici une liste non exhaustive de produits, d'origine marine et végétale, riches en Oméga 3 : fruits de mer, poissons gras (sardines, maquereaux, saumon, hareng, truite, thon, anchois…), mâche, noix, soja, tofu, huiles de lin, de colza, de germes de blé, de soja, de noix… Il est également possible de trouver des œufs, de la volaille ou du bœuf riches en Oméga-3, en raison de l'alimentation donnée aux bêtes. Certaines poules, par exemple, sont nourries avec des graines de lin. Cependant, la mention "Oméga-3" n'est pas forcément présente sur les emballages de ces produits. Vous trouverez parfois les termes EPA et DHA : il s'agit simplement de deux acides gras de la série Oméga-3.
Et les compléments alimentaires ?
Il existe en pharmacie des compléments alimentaires riches en Oméga-3, élaborés à base d'huile de poisson. L'utilisation de compléments alimentaires est très réglementée.
Depuis le 1er août 2003, l'utilisation de ce type de produits est très réglementée. Seuls les vitamines et minéraux autorisés figurent dans la composition, à des taux très stricts. Mode d'emploi, risques éventuels liés à un surdosage, liste exhaustive de tous les composants du produit… Ces mentions apparaissent obligatoirement sur l'étiquette. Mais attention, si votre alimentation est assez variée pour couvrir vos besoins en acides gras essentiels, ne faites pas une cure pour le plaisir ! Dans le doute, demandez conseil à votre médecin.
Nos besoins journaliers en Oméga-3.
Un consensus international recommande d'avaler entre 1,3 et 2 g d'Oméga-3 par jour, soit cinq à dix noix, ou une à deux cuillères à soupe d'huile de colza. Cela ne paraît pas insurmontable. Et pourtant… Les Français n'en consomment pas assez.
Voici donc quelques conseils pratiques pour insérer des Oméga-3 dans son alimentation sans s'en rendre compte. Remplacez, par exemple, la classique huile de tournesol par celle au colza, pensez à intégrer quelques cerneaux de noix à votre salade verte ou ajoutez des graines de lin moulues dans vos préparations (yaourts, soupes, etc.). Vous en trouverez dans la plupart des magasins biologiques.
Bon courage!
"Mens sana in corpore sano".
Source ELLE
Les Oméga-3 : qu'est-ce que c'est ?
Ne nous y trompons pas, les Oméga-3 sont des matières grasses. Mais pas n'importe lesquelles…
Il existe en effet différents types de gras ayant des effets opposés sur la santé : les acides gras saturés, présents dans le beurre, les fromages ou encore la charcuterie ; les acides gras trans, d'origine industrielle ; et les acides gras poly et mono-insaturés, nommés ainsi en raison de leur structure chimique. Inutile de rappeler que les deux premières sources de gras peuvent avoir des conséquences fâcheuses sur la santé (cholestérol, risques de maladies cardiovasculaires, etc.).
Les Oméga- 3, eux, appartiennent aux acides gras poly-insaturés, également appelés acides gras "essentiels" car notre organisme est incapable d'en fabriquer. Nous devons donc obligatoirement en manger pour satisfaire nos besoins. En tant que matières grasses, ils apportent autant de calories que les acides gras saturés mais, contrairement à ces derniers, leur consommation a des effets protecteurs.
Des effets protecteurs
Les Oméga-3 se distinguent très nettement des acides gras saturés qui ont tendance à favoriser les dépôts de cholestérol et à augmenter les risques de maladies cardiovasculaires.
Ils préviennent certaines maladies
La liste de leurs bienfaits est longue et s'étoffe de jour en jour... Ils participent à la constitution de nos cellules et à la fabrication de certaines hormones, empêchent la formation de caillots et combattent les troubles du rythme cardiaque. On a même découvert que ces acides gras poly-insaturés pouvaient diminuer le risque de troubles cardiovasculaires après un infarctus du myocarde. Mais l'inventaire ne s'arrête pas là. En plus d'être des alliés santé pour le cœur, les Oméga-3 jouent également un rôle important dans la formation et le fonctionnement du cerveau. N'en jetez plus ! Eh bien si… Ils permettraient aussi de lutter contre certains cancers et contre l'apparition de la maladie d'Alzheimer.
De vrais "brûle-graisses"
Les Oméga-3 sont de vrais "brûle-graisses". La preuve par quatre dans le livre d'Anne Dufour et Carole Garnier, "Programme brûle-graisses en 30 jours", aux éditions Leduc.S.
» Les Oméga-3 prennent la place des graisses qui font grossir, comme les acides gras trans et saturés, et passent facilement dans le sang pour être brûlés, et non stockés.
» Grâce à leurs effets antidépresseurs, ils permettent d'optimiser l'activité sportive et d'augmenter le métabolisme de base, c'est-à-dire la consommation de calories par votre corps.
» Les Oméga-3 sont les graisses les plus facilement brûlées par les mitochondries qui transforment les calories en énergie.
» Les Oméga-3 assouplissent les cellules sanguines, facilitant ainsi leur voyage vers le bout des doigts et des orteils pour les réchauffer. Ce processus oblige le corps à brûler en permanence des calories afin de fournir cette chaleur. De la chaleur qui, grâce aux fameux acides gras poly-insaturés, s'évapore sans cesse et doit donc être fabriquée de nouveau…
Dans les aliments. Rien de tel que les poissons gras. Voici une liste non exhaustive de produits, d'origine marine et végétale, riches en Oméga 3 : fruits de mer, poissons gras (sardines, maquereaux, saumon, hareng, truite, thon, anchois…), mâche, noix, soja, tofu, huiles de lin, de colza, de germes de blé, de soja, de noix… Il est également possible de trouver des œufs, de la volaille ou du bœuf riches en Oméga-3, en raison de l'alimentation donnée aux bêtes. Certaines poules, par exemple, sont nourries avec des graines de lin. Cependant, la mention "Oméga-3" n'est pas forcément présente sur les emballages de ces produits. Vous trouverez parfois les termes EPA et DHA : il s'agit simplement de deux acides gras de la série Oméga-3.
Et les compléments alimentaires ?
Il existe en pharmacie des compléments alimentaires riches en Oméga-3, élaborés à base d'huile de poisson. L'utilisation de compléments alimentaires est très réglementée.
Depuis le 1er août 2003, l'utilisation de ce type de produits est très réglementée. Seuls les vitamines et minéraux autorisés figurent dans la composition, à des taux très stricts. Mode d'emploi, risques éventuels liés à un surdosage, liste exhaustive de tous les composants du produit… Ces mentions apparaissent obligatoirement sur l'étiquette. Mais attention, si votre alimentation est assez variée pour couvrir vos besoins en acides gras essentiels, ne faites pas une cure pour le plaisir ! Dans le doute, demandez conseil à votre médecin.
Nos besoins journaliers en Oméga-3.
Un consensus international recommande d'avaler entre 1,3 et 2 g d'Oméga-3 par jour, soit cinq à dix noix, ou une à deux cuillères à soupe d'huile de colza. Cela ne paraît pas insurmontable. Et pourtant… Les Français n'en consomment pas assez.
Voici donc quelques conseils pratiques pour insérer des Oméga-3 dans son alimentation sans s'en rendre compte. Remplacez, par exemple, la classique huile de tournesol par celle au colza, pensez à intégrer quelques cerneaux de noix à votre salade verte ou ajoutez des graines de lin moulues dans vos préparations (yaourts, soupes, etc.). Vous en trouverez dans la plupart des magasins biologiques.
Bon courage!
"Mens sana in corpore sano".
